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lundi 2 juillet 2012

Mourir d’enfance, Alphonse Boudard

Pour bien entraver le parcours  légendaire de Monsieur Alphonse, faut avoir les clichetons d’un Simonin et d’un Fallet en tronche. Faut pas être resté coinçaresse dans la bouse du Gâtinais, c’est sézigue  qui le dit. Faut bien jaspiner l’argomuche du Paname des années trente pour suivre la situasse du lascar. L’était tube mais pas con, il s’est pas toujours gouré, il a préféré de Gaulle à Pétain au bon moment, morflé des bastos dans le derche aux côtés des Fabiens et des de Lattres en 45. Mais la guéguerre finie, la déconne et la truande ont continué... Forcement, ça a mal fini, trop gentil Phonphonse ; cellote réservée à l’auberge fresnoise. Placardisé.
Heureusement il a changé de plume, le stylo bille a remplacé la pince monseigneur et le voyou c’est métamorphosé non pas en cloporte mais en écrivain, pour notre plus grand bonheur.

Respect l’ancien, on ôtera notre galure la prochaine fois qu'on te croise.


Je vous demande de vous mitardiser

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