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vendredi 6 juillet 2012

Hypothermie, Arnaldur Indridason

Ah ! L’Islande, c’est chaque fois le choc des toponymes : les montagnes de Grimannsfell et Skalafell, la route de Vindashlid, le champ de lave de Kerlingarhraum, la dorsale d’Uxahryggir, les vallées de Kaldadalur et de Lundarreykdalur, sans parler du fjord de Borgarfjördur ou le lac Sandkluftavatn. Ça fait plus sérieux que le Mont Gerbier de Jonc ou les Gorges du Tarn ; c’est plus hypothermique.
Bon, nous sommes toujours à Reykjavik et, encore une fois, c’est l'inébranlable commissaire Erlendur qui s’y colle. Mais je ne t’en dévoilerai pas plus, petit farang,  si ce n’’est que c’est savoureux, avec une arrivée au finish! Il m’a même tiré une larme à la dernière page.
Le personnage du commissaire gagne encore en densité et même Eva, sa fille est devenue plus sympathique; je me souviens que dans “la Cité des Jarres” elle était infernale.

Arnaldur Indridason est un maitre du polar,
Arnaldur Indridason est notre ami.



Je vous demande de vous réchauffer...

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