Ah !
L’Islande, c’est chaque fois le choc des toponymes : les montagnes de
Grimannsfell et Skalafell, la route de Vindashlid, le champ de lave de
Kerlingarhraum, la dorsale d’Uxahryggir, les vallées de Kaldadalur et de
Lundarreykdalur, sans parler du fjord de Borgarfjördur ou le lac
Sandkluftavatn. Ça fait plus sérieux que le Mont Gerbier de Jonc ou les
Gorges du Tarn ; c’est plus hypothermique.
Bon,
nous sommes toujours à Reykjavik et, encore une fois, c’est l'inébranlable
commissaire Erlendur qui s’y colle. Mais je ne t’en dévoilerai pas plus,
petit farang, si ce n’’est que c’est savoureux, avec une arrivée au finish! Il m’a
même tiré une larme à la dernière page.
Le
personnage du commissaire gagne encore en densité et même Eva, sa fille
est devenue plus sympathique; je me souviens que dans “la Cité des
Jarres” elle était infernale.
Arnaldur Indridason est un maitre du polar,
Arnaldur Indridason est notre ami.
Je vous demande de vous réchauffer...
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