Pages

lundi 30 juillet 2012

L’inquisiteur, Henri Gougaud

Toulouse, 1320 (ou pas loin), la seconde croisade des Pastoureaux vient s’échouer au pied des murailles ; exactions en tous genres, pogrome de juifs, l’armée de gueux qui suit Jean le Hongre fout le bordel dans toute la région.
Jacques Novelli, Grand Inquisiteur de Toulouse (con) est obligé de réagir: il arrive à capturer la soeur de Jean le Hongre, la belle Stéphanie, pensant avoir barre sur le turbulent frérot. Las, ma mie, il va être pris à son propre piège. De grand connard psychorigide il va rapidement déraper vers un comportement plus “humain” (plus sexué, disons) et succomber à l’Amour pour sa belle prisonnière, en total désaccord avec sa charge d’Inquisiteur.

Avec l’histoire de ce parcours initiatique, Henri Gougaud nous sert un conte philosophique attachant et drôlement bien ficelé, et ce dans une langue remarquable.

L’est fort le Riton et c’est notre ami.


Je vous demande de vous faire débaptiser...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire