Dans
la séquence polar, après les frimas islandais d’Arnaldur Indridason, il
fallait se réchauffer au soleil. On aurait pu trouver pire que les
Alpes-maritimes, non?
Check :
Cannes, la Croisette, les mega-villas de la Californie,
un réseau de disjonctés du pédo-snuff movie (les méchants, bien sûr),
un tueur de la mafia russe trop émotif qui flashe sur la bombasse de sa cible (une
partie des gentils), un groupe de rock en devenir (encore des gentils),
des vieillards cacochymes et vindicatifs (toujours des gentils), des
tueurs et des gardes du corps vraiment très cons, une paire de matafs de
la sixième flotte US au mouillage dans la rade (un gentil, le black, et
un méchant, le farang dégueulasse et galonné), une zonarde et son
monstrueux clébard en fils rouge. Course poursuite dans des cuirs de
bagnoles qu’on ne pourra jamais se payer et petite escapade à Monaco. Et
la fin épiphanique du vieux Lucien ! BLUM !
Un
reproche, cependant, à l’encontre de cet excellent polar français:
j’ai regretté de ne pas y croiser le bonson scalaire de Higgs; c’eût été
complet, sinon de bon goût.
Je vous demande de vous inthenavytiser...
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