Ok, merci à Madame D. (“d” comme Danièle), je ne connaissais pas Joona Linna. Et pourtant je le vois tous les matins dans ma glace !
Joona Linna c’est le flicard en pointe (d’origine finnoise) de ce polard suédois, et franchement, c’est mon portrait craché ; superbe, athlétique, mais pas trop, blond, intelligent, extrêmement affûté (des réflexes de conscrit et dix-huit de tension !) ; et rappelle-toi qu’y faut pas lui chercher du suif…
Cela dit, il reste courtois avec les dames, les petites filles et les personnes âgées ; le gendre parfait, en somme.
Bon, grosso modo, on est dans un scénar à la Stieg Larsson :
La mafia des marchands d’armes versus “les petits flicards pôle-nore-distes”. Ces derniers, pétris de l’éthique démocratique propre aux gens des entours du cercle arctique, n’entendent pas se laisser briser les patins à glace par les mauvaises manières, toutes siciliennes, des enculés d’en face. Y vont foutre le bordel dans la casbah des méchants et, pacte ou pas pacte, le gars Joona Linna finira par… hum, tu ne comptes quand même pas que je dévoile l’intrigue ? Mais t’es pas folle, non ? Un récit qui accélère au point de finir sur un chapelet de chapitres de deux ou trois pages. Ce serait criminèleux !
Bon polard, donc. (doi brendre, doi brendre...)
Bien sûr, le choc “Millénium” est loin désormais, de la littérature elfico-lapone post-moderniste j’en ai sucé ma dose depuis ; il faut cependant le constater, quand c’est bien fait, ça reste un entremet remarquable.
Merci pour le tourbillon, les Lars Kepler.
© La beauté du diable |
Je vous demande juste de signer...
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