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samedi 19 juillet 2014

Du temps de cerveau disponible, Causse&Urien

Alors là, ami (Gui)2, tu m’as sciée !

- Tiens, S(Biiip), j’ai un truc à te faire lire…
Et l’ami Guigui me colle ce bouquin dans les pognes… pas moyen de se défiler, chuis prise aux pattes !
Pour l’historique, sache juste que ce très jeune homme déboula frais émoulu d’une école d’ingénieure, il y a… fichtre, tant que ça ? ! et qu’outre mal les conjuguer dès lors qu’il affrontait les deux auxiliaires, souventes fois il les confondait ! Ça donnait des courriels qui lui valurent maints sarcasmes de la tribu des “vieux”. Et cependant il a progressé, sous nos yeux, il est resté un “ingénieur émérite”, certes, et un irremplaçable camarade, bien sûr, mais il a poussé le bouchon jusqu’à présenter des courriels pratiquement convenables, et finir par m’avoir à la surprenante :
- Tiens, S(Biiip), j’ai un truc à te faire lire…

‘tain, (Gui)2, d’où sors-tu cet OVNI ?

Bien sûr, c’est trop court, façon novella, moins de cent pages, mais c’est ébouriffant ! C’est exactement ça ! Nos amis Causse&Urien tiennent là un canevas extraordinaire ; déconnez pas, faut nous pondre un cinq cents pages, minimum, à votre manière. Très, très bonne SF (Social-Fiction), on frôle le Georges Orwell de 1984 avec votre petite merveille, et quelques chapitres n’eussent point déparés dans un tome de William Gibson. Vous dire comme je vous trouve bons, chers Manu et Emmanuelle, toulousains qui plus zoutre !
Aussi, (Gui)2 et moi mettons-nous un genou à terre devant vous, ôh, émules de Tschaï, et ployons respectueusement le cou devant vos seigneuries toutes emmanuellées… putain con.
Nous en voulons plus, tout simplement.
C’était excellent ! Sans dec, y a des trucs à faire avec ce concept de temps-cervelle. Vous êtes sur la voie, surtout ne vous arrêtez pas !

Je vais laisser nonobstant planer le mystère ; tu sais déjà, farang-juilletiste, que je ne déflore jamais une belle histoire, ch’uis pas celle que tu penses, j’ai mes pudeurs.

Merci à mes amis Guigui, Emmanue-zé-Manu, merci à la toulousitude, en somme.




Je vous demande juste d’être vacants...

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