Très embêté, mais obligé d’avouer que j’ai trouvé cette petite bio assez fade.
Rien à voir avec celle de Jack London.
Ceci dit
et malgré l’attirance irrationnelle qu’exerce le personnage d’Amelia
Earhart, peut-être faut-il supposer qu’il y avait moins de fond à
exploiter qu’avec l’autre monstre de London auquel on peut plus
facilement appliquer l’aphorisme “mille métiers, mille misères”.
Dame Amélia était plus mono-maniaque, moins diverse. Les préoccupations de cette dame ne tournent qu’autour d’un seul centre : les navions !
Miss Lindy tombe dans la marmite toute petite et elle décrochera une dizaine de records ou de premières entre 1922 et 1935. C’est une femme discrète qui va pourtant faire la une des magazines pendant quinze ans. Faut dire que G. P. (George Palmer Putnam), son mari est un opportuniste de première et va manipuler toute sa carrière... faut aussi avouer que la dame est très photogénique à défaut d’être une pilote de génie.
Courageuse,
obstinée et passionnée... jusqu’au crash fatal à bord de son Loockheed Electra au beau milieu du pacifique alors qu’elle tente son premier
tour du monde en 1937.
Amelia Earhart ? Une femme libre et moderne dans un monde de brutes.
Amelia forever |
Les filles, je vous demande de vous envoler...
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