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mardi 20 août 2013

Albert Cohen, Franck Médioni

Cette bio du camarade Bébert m’a valu une nuit blanche tellement je l’aime mon Cohen.

Alors, il faut que je fasse immédiatement mon mea culpa car je ne suis pas fier d’avoir dit pis que pendre du Solal dans les commentaires précédents. 
Pourquoi ? 
Pas’que le camarade Franck Médioni t’esplique tout au long de cette bio que Albert Cohen et Solal c’est bonnet blanc et blanc bonnet… putain ! J’ai l’air malin main’nant : j'adore Albert et je déteste Solal. À m’ment donné je vais virer schizo, non ?
En fait je déteste les gros machos, ils convoquent immanquablement le côté “féministe” qui afflige trop régulièrement le tropisme “mâle Alpha” que je me dois de posséder… Je n’aime pas les autres mâles, tout bêtement. Laissez mes femelles tranquilles, merde !

Tu vois farang-tire-au-cul, on ne devrait lire la bio que des gens que l’on déteste… y en a bien assez !

Qui plus outre, et pour faire bonne mesure, je me suis mis dans l’idée de regarder le seul film facilement accessible du gars Cohen : Mangeclous. Putain, quelle déception ! Pourquoi n’ont-ils pas pris de vrais “jifs” à la Popeck pour tourner çà ? Les Pierre Richard en Mangeclous et les Blier en Saltiel sont fort peut crédibles… c’est lamentable et poussif, jamais pittoresque : de la sous-série “Bé”.  Pouah ! Ce n’est pas un film qui fait honneur à l’œuvre de Cohen.

Bon, ceci dit, tout n’est pas perdu car par un hasard qui pourrait prouver que dieu exisse, j’ai gardé Les Valeureux sous le coude et là je sais que je vais renouer avec l’Albert que j’aime, avec la tribu des jifs disjonctés de Céphalonie ; chers Saltiel, Mickael, Mangeclous et Mattathias, vostre dieu m’en est témoin,  je vous aime...


Popeck Solal






Je vous demande de croire qu’on n’est pas des sauvages, tout de même !...

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