Pages

mercredi 31 juillet 2013

Heris Serrano, Elizabeth Moon

Alors voilà, on est toujours à la plage (ah-ouh cha-cha-cha)... c’est “les vacances cong” ; on profite de la vacuité cérébrale induite par l’inanité de cette non occupation pour continuer à lire du light. Cela dit avec cette Heris Serrano, c’est plutôt de l’ultra-light ! Je m’en doutais un peu mais pas à ce point !
Ouais, la donzelle Elizabeth n’est pas une parfaite inconnue, tu te souviendras avec émotion, farang-pleurnichard, de son excellentissime  “La vitesse de l’obscurité”. À ce propos il me revient une controverse qui m’opposa au malotrus qui souriait bêtement en lisant ce titre : 

- Heu... c’est nulleux comme titre ça, La vitesse de l’obscurité, heu... c’est la lumière qui a une vitesse, pas l’obscurité... heu... nulleux !...

Il me fut assez délicat de lui laisser entendre que la vitesse de l’obscurité est forcement égale à c, soit 299 792 458 m/s... fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis... je te laisse reufléchir à ça.
- ...

Brèfe, juste pour dire que j’ai lu des trucs mieux de Dame Lisbeth et tant qu’on en est aux confidences, allons-y franchement !

Si tu n’es pas une jeune pré-adolescente oxy-dentale évite ce bouquin !
À la limite ça pourrait faire une série pour Gulli ;  le truc est nul, mais tu veux savoir ?...  j’ai apprécié ce mièvre-opéra, je me suis sentie redevenir une enfant. Mon âme pré-humaine (tu n’arriveras plus à me laisser accroire que les ados sont tout à fait humains...) a adoré ça... Hé, merde ! c’est l’été... souviens-toi : 

… amour... plage... baisers... coquillages, etc. (ah-ouh cha-cha-cha)...


Space cowgirl by retroroxi





Je vous demande de vous rendre...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire