Bon, l’ami Ian, on le connaît déjà bien, cependant, là faut oublier les enquêtes de l’inspecteur Rebus. C’est carrément le contraire, au début du moins car le Mike est un tueur à gage.
Hélas je ne peux rien te révéler ; la mécanique Ian Rankinienne te mord les mollets jusqu’au bout et sache seulement que le Mike a la bougeotte et que tu vas pas mal voyager tout au long de ces cinq cent trente-deux pages.
Ça tombe plutôt bien, non ? c’est l’été... et quand tu vas à la plage, farang-individualiste, t'amènes bien un polar, non ?... Ben là, c’est l’occas... Ah bon, t'amènes pas de bouquins à la plage, toi ? !... T'amènes quoi alors ?... des gonzesses ?... des vraies ?... Quelle horreureux ! Comment ?... et en plus vous chantez !...
C'est l'amour à la plage (ah-ouh cha-cha-cha)
Et mes yeux dans tes yeux (ah-ouh ah-ouh)
Baisers et coquillages (ah-ouh cha-cha-cha)
Entre toi et l'eau bleue (ah-ouh ah-ouh)
(Niagara)…
Pfffff ! Tu m’estermines, farang-ineffable...
les vertus du silence... |
Je vous demande de rester double-détendu...
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