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lundi 29 juillet 2013

Double détente, Ian Rankin

Bon, l’ami Ian, on le connaît déjà bien, cependant, là faut oublier les enquêtes de l’inspecteur Rebus. C’est carrément le contraire, au début du moins car le Mike est un tueur à gage.
Hélas je ne peux rien te révéler ; la mécanique Ian Rankinienne  te mord les mollets jusqu’au bout et sache seulement que le Mike a la bougeotte et que tu vas pas mal voyager tout au long de ces cinq cent trente-deux pages.

Ça tombe plutôt bien, non ? c’est l’été... et quand tu vas à la plage, farang-individualiste, t'amènes bien un polar, non ?...  Ben là, c’est l’occas... Ah bon, t'amènes pas de bouquins à la plage, toi ? !...  T'amènes quoi alors ?...  des gonzesses ?... des vraies ?... Quelle horreureux ! Comment ?... et en plus vous chantez !...

C'est l'amour à la plage (ah-ouh cha-cha-cha)
Et mes yeux dans tes yeux (ah-ouh ah-ouh)
Baisers et coquillages (ah-ouh cha-cha-cha)
Entre toi et l'eau bleue (ah-ouh ah-ouh)
(Niagara)…




Pfffff !  Tu m’estermines, farang-ineffable...



les vertus du silence...




Je vous demande de rester double-détendu...


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