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jeudi 4 octobre 2012

Je vais passer pour un vieux con, Philippe Delerm

Ouais, l’a pas tout à fait tort, Fifi...
Pour une fois j’ai beaucoup de mal à te faire l’article d’un livre ; c’est un comble ! Bien que je ne sache pas faire, le mieux serait que je n’en dise rien ; je ne devrais pas trop la ramener sur les trucs qui me passent au dessus de la tête. Mais, bon, ne rien dire ce n’est pas mon genre, hardi petit...

Chaque phrase, chaque paragraphe, chaque chapître est frappé au sceau du bon sens, du bon mot, du bon sentiment et en plus s’est presque fin. Mais c'est mou, farang débandant, c’est fade, téléphoné, langagier et loin d'avoir la saveur d’une première gorgée de bière !
Tout ça est décidément bien ancré dans un boboïsme (parisien?!) assez insupportable.

Bon, attention,  Fifi je le connais mal finalement, c’est très certainement un mec formidable... Alors disons qu’il sera mon ami quand il commettra des textes un peu plus rugueux et moins “intelligents”. 
Faut qu'il arrête la bière le vieux gars Delermuche ; devrait passer au pinard...





... Muscadet monsieur, goûte... Alors ?

Où tu l’trouves ?

Chez Baladin, rue d’la Clef, 160 balles...






2 commentaires:

  1. Se lit vite , s'oublie vite ... et si on a l'imprudence de combiner l' exercice en écoutant un disque de son fils , l'effet lénifiant (au sens clinique du terme) est exacerbé .Heureusement la potion obtenue est tellement insipide qu' aucun effet secondaire n' est à redouter ... c'est dire l'innocuité de la formule ..à comsommer quand meme qu'en derniere extrémité .. avec un verre de lait .. tiède ....

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  2. Non, Hugo, tout mais pas le fils...

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