samedi 13 octobre 2012
Chroniques de San Francisco, Armistead Maupin
Encore un Ave de bonheur qui vient de me filer entre les doigts dans le chapelet de mes lectures (j’espère que tu te souviens qu’il faut dix Ave pour un Pater et un Credo sur la croix... bref).
Merci à Sainte Céline pour ce premier épisode, fou, romanesque et philistin. Finalement cette petite tribu du 28 Barbary Lane est bien émouvante. Il faut voir cela comme la description d’un espace psychologique distinctement humain ; une expérience fondatrice des années 70. La substantifique moelle de la beatnik generation... à San Francisco, et dont les échos ont résonné dans toutes les capitales occidentales jusque dans les années 80.
Rappelle-toi, farang conventionnel, que tu vas en découvrir un brin sur la retraite de conscientisation, le repositionnement par thérapie féministe bioénergétique, sur l’herbologie et le volley-ball transcendantal... et c’est juste une mise en bouche !
Vraiment, Céline, tu as fait circuler un souffle de jeunesse sur nos rouages karmiques et nos vieux cuirs érodés.
Cependant faut pas nous laisser comm’ça dans cette post bellum story : nous voulons la suite ! Tu as promis...
Quoi qu’il advienne, Mary-Ann Singleton, Anna Madrigal, Mona Ramsey, Michael (Mouse ), Brian, D'orothea, Jon Fielding, et même Deedee et Beauchamp sont devenus nos amis. On les aime...
Je vous demande de retrouver la clef de cette putain de maison bleu...
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