Clémenceau ?...
Le Tigre (à cause des brigades éponymes), la statue des Champs-Elysées (j'ai vu des pigeons y chier dessus) et le porte-avions (on se souvient de la pathétique saga de la coque Q-790 à travers les sept mers) ; voilà, triste farang, ce qu’évoquait le “père la victoire” pour la feignasse inculte que je suis. Quelle misère.
Donc, encore une fois, merci à Jean-Noël Jeanneney et, en l’occurence, à Sylvie Brodziak pour cette remise à l’heure.
Georges
est un homme d’action et, à l’instar d’un Jean Jaurès, un homme
politique de gauche au sens noble du terme. Il sera aussi médecin des
pauvres, journaliste (et quelle plume), député, ministre de
l’intérieur, président du conseil, anticlérical convaincu et
intraitable, anticolonialiste, duelliste, dreyfusard, contre la peine de mort, etc.
Son
combat : la liberté à tout prix et la justice pour tous. Ses discours
seront ciselés et farouches ; toujours il défendra les humbles, les
sans-grades, les petits contre l’iniquité des bourgeois, des curés et
des grossium.
De
gauche, oui, mais à cette nuance près : la lutte des classes n’est pas
dans son registre, au contraire, c’est un radical, un pragmatique, il
tentera toujours de les réconcilier... les classes.
Cependant, il y a ce qu’il a écrit, et il y a ce que je lis dans wiki... c’était pas le copain de la CGT en 1907 !
Tout cela m’a bien appâté, il faut vite trouver une biographie pour en savoir plusse.
Je vous demande d’aller vous faire désamianter...
Ma pougne, tu es excellente ! Mo & moi, on t'embrasse fort. Continue, bordel de nous-mêmes !
RépondreSupprimerPour lire une excellente biographie de Clémenceau, il y a celle rédigé par Michel Winock, intitulée... "Clémenceau".
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