Pages

dimanche 24 août 2014

Le guerrier solitaire, Henning Mankell

Allons, je vois bien que tu commences à saturer, petit farang-rosa-luxembourgeois, mais accorde-moi  encore ce Mankell, après, je fais un petit break ; juré, craché !

Pouf, pouf…

Le pauvre Kurt Wallander va devenir fou avec cette enquête qui tourne autour de la prostitution organisée à l’échelle planétaire. Fallait que tout ce bordel atterrisse encore une fois sur ses après-skis ! 

Une môme qui se fout le feu sous ses yeux !
Des salauds notoires qui se font trucider et scalper à tire-larigot !
Et un guerrier solitaire qui circule en mobylette !

Rappelle-toi que sa garde rapprochée, les inspecteurs Svedberg, Anna-Britt Hoglund et Martinsson, sans compter l’excellent Nyberg, le mec de la police scientifique d’Ystad, ne vont pas dormir beaucoup pendant tout le bouquin. Il  va se boire des hectolitres de café tiédasse avant que  la meute de nos flicards favoris ne parvienne à stopper le barjot qui zigouille ses prochains. 
Quant à Wallander, il arrivera in extremis à se tirer en vacances avec sa douce et lettone Baiba, sa chérie à lui qu’il a en propre depuis le tome deux : “ les chiens de Riga”.

Note aussi qu’à l’instar des autres opus, il est pas mal occupé avec sa fille Linda qui vient de se découvrir une vocation de metteur en scène de théâtre et son vieux, Povel, le peintre de l’éternel et même tableau, qui démarre réglementairement son alzheimer...

Kurt Wallander ? Un archétype de l’homo policiaris subarcticus en guerre contre l’homo salopardus internationalis.


Geronimo © jpoulos2561





Ugh ! …

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire