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vendredi 15 août 2014

Avant le gel, Henning Mankell

C’est mon deuxième accident de lecture cet été : dérapage dans les Molière fin juillet et maintenant un tête-à-queue dans les Mankell  ; ça m’apprendra à lire bourré !
Hé, deux fois quatre points en moins sur mon permis de lecture ! Ça m’inquiète un peu rapport à un Faulkner un tantinet complicaresse à piloter que je rode présentement, mais brèfe...

Ceci dit, j’ai des circonstances atténuantes, il n'est nul besoin de beaucoup me pousser pour que je parte en vrille dès lors qu'il s'agit de l'ami Henning Mankell, chuis très fan de l’inspecteur Kurt Wallander du commissariat principal de Ystad, Scanie.

Ici, le bon Wallander est aux prises avec un rescapé de la secte de Jim Jones, une sorte d’intégrisse totalement azimuté, gourou de la vingt-cinquième heure et aussi barré qu’un bateau ivre. Dans le jardin hyperboréen de Kurt Wallander, ça ne pouvait pas passer ! Le retour du père prodigue ne se déroulera pas comme prévu, tu penses bien, farang john-burdettien. On ne vient pas impunément foutre le bordel dans le pré carré du meilleur flicard subarctique.
On assiste aussi au retour de sa fille, qui fait ses débuts dans la maison poulaga et qui trempe des deux pieds dans la pataugeoire suédoise.

M’enfin, bref, par le biais des enquêtes de  Kurt Wallander c’est à chaque fois un grand thème sociétal qui est exploré et ici ce sera le marigot des sectes. Toujours la même problématique avec les barjots de Dieu ; gourous, esprits faibles sous influences, attentats suicides, etc.


Bon, je te laisse le soin de découvrir tout cela par toi-même…

Et merci au grand prêtre Henning Mankell pour cette belle messe.



Nietzsche





Je vous rappelle que DieuTM est mort...

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