Ça
devient de plus en plus dur de faire le panégyrique de Môssieur Deon
Meyer à cette cadence. Sûr que je vais me répéter à force ; faudra que
je m’accorde quelques indulgences...
A
nouveau l’Afrique du Sud donc, et cette fois les racines du mal
remontent à la fin des années 70, quand l’Afrique du Sud et la C.I.A.
barbouzaient méchamment en Angola et dégommaient à tout-va les cadres
castristes et les mecs de l’ANC.
Bien
sûr et comme toujours, Deonny (?) nous usine un bouquin dont
l’intrigue est d’une précision digne d’une Bréguet 30 rubis, tout passe
au quart de poil, tout est huilé, tout s’imbrique et converge de façon
plus que nerveuse, quasi catharsique, vers la formidable épiphanie des
derniers chapitres.
Les personnages sont fouillés et terriblement humains ; on les aime, ce sont nos amis !
Du grand Meyer donc, à mettre entre toutes les mains.
Je vous demande de vous kaffiriser....
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