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mercredi 8 août 2012

Les soldats de l’aube, Deon Meyer

Ça devient de plus en plus dur de faire le panégyrique de Môssieur Deon Meyer à cette cadence. Sûr que je vais me répéter à force ; faudra que je m’accorde quelques indulgences...
A nouveau l’Afrique du Sud donc, et cette fois les racines du mal remontent à la fin des années 70, quand l’Afrique du Sud et la C.I.A. barbouzaient méchamment en Angola et dégommaient à tout-va les cadres castristes et les mecs de l’ANC.
Bien sûr et comme toujours,  Deonny (?) nous usine un bouquin dont l’intrigue est d’une précision digne d’une Bréguet 30 rubis, tout passe au quart de poil, tout est huilé, tout s’imbrique et converge de façon plus que nerveuse, quasi catharsique, vers la formidable épiphanie des derniers chapitres.
Les personnages sont fouillés et terriblement humains ; on les aime, ce sont nos amis !

Du grand Meyer donc, à mettre entre toutes les mains.


Je vous demande de vous kaffiriser....

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