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mercredi 29 août 2012

Du vin et du Haschish, Charles Baudelaire

Mouais, l’ami Charles nous fait là une étude comparée sur les effets de l’alcool et du pschitt (orange ou citron?).
Bon, c’est pas mal observé sur le pinard, c’est, par contre, un peu plus scabreux quant au chichon.

J’aime bien la conclusion de la partie alcoolisée :
- Il y a des ivrognes méchants ; ce sont des gens naturellement méchants. L’homme mauvais devient exécrable, comme le bon devient excellent.
C’est bien résumé, non ? On connaît tous des farangs, des Jean-Claude ou des Régis qui ont le pif mauvais, de véritables casse-couilles, méchants et cons comme des Texans républicains dès qu'ils ont trois verres de jaja dans le cornet.

Et puis il y a la partie Pschitt... mais là, je manque de connaissances pour être bon juge ; je crois cependant pouvoir dire que le mélange qu’ils s’envoyaient, les anciens, n’a pas grand chose à voir avec une honnête barrette de pschitt contemporaine. Au XIVème, cela se présentait sous la forme d’une gelée verdâtre comprenant de l’opium, du beurre et du pschitt. Souvenons nous que c’est avec ça que le Comte de Monté Cristo s’escagassait la tête quand il était en proie au vague à l’âme.
Mais comme je l’ai déjà dit, chuis très, très ignorant sur les effets de la THC et je suppose que Charly à raison, ça doit rendre fainéant, con, pusillanime, veule, lâche, procrastinateur et bon à rien...
Ah, non, pas d’ça chez moi, hein ?

M’enfin bref, ce Baudelaire là, t’es pas obligé de le fumer. Tu peux le boire, à la rigueur.


Je demande à l'enfoiré qui a chouravé mon OCB de se dénoncer...

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