Pages

lundi 20 août 2012

La mort dans l'âme, Ian Rankin

Retour en Calédonie, l’ancienne, pas la nouvelle ; capitale Edimbourg, donc. Moins de mines de nickel mais plus de pubs avec petites bières et grands whiskys. Et plus de sales cons aussi : des pédophiles, des tueurs en série, des fugueurs, des milices de salut public et des emmerdes à la pelle pour l’inspecteur John Rebus ; c’est pas facile, hein John ?

Déjà, dans “Le jardin des pendus”, nous avions découvert un Edimbourg pour le moins underground, dans cette “Mort dans l’âme”, la visite se précise ; plongée dans la misère ordinaire...

Le méchant principal est vraiment une putain de grosse enflure, t’as envie de la passer au chalumeau d’entrée ! Y en a, faudrait les noyer à la naissance. Je sais, c’est plus que politiquement incorrect, mais avouez : que de misères, que de souffrances et que d’injustices seraient épargnées ! Ce Cary Oakes est le mal, une sorte de Pol Pot  à usage domestique,  un psychopathe professionnel, le vice incarné et notre vaillant inspecteur ne va pas lui lâcher la grappe pendant 600 pages.

John Rebus est notre ami, tu n’as pas pu en douter, hum ?


Je vous demande de déserter les milices...

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire