De
quoi ?
Halo ?
On parle du jeu Xbox qui m’a bousillé les articulations
trapèzo-métacarpiennes ? Avec les Convenants ? Ces petits branleurs qui
fuyaient en couinant d’une voix de canard :“ Ne me tuez pas... Non, pas
moi..."). Ha, ha, ha... qu’est-ce que j’en ai buté ! Y z’étaient faciles
à choper ceux-là. Par contre, il y avait de plus grosses saloperies à
dégommer, de méchantes bestioles électroblindées et agressives comme
jamais...
Pfiouuu, qu’est-ce qu’il était bien, ce jeu. Je me suis tapé
les deux premiers épisodes, Halo 1 & 2, avant que mes pouces ne
lâchent... les pleutres. Y a pas, faudrait pas vieillir.
Brèfe, pour un vieil amateur de SF, c’était un chouette univers.
...
Pis
v’la t’y pas qu’à l’occas d’une farfouillade réticulaire, le zinzin me
dégoogleugue “Greg Bear” associé au mot clef “Halo” !
Mes fluides ne
font qu’un tour !
Merci Ser Greg Bear ! Toi, le glorieux papa d’Éon & Éternité ! De
l’Échelle de Darwin, etc.
Là,
tout s’enchaîne, je ne suis plus maître de rien ; des sous-routines,
jusqu’alors en mode “veille”, se réactivent subrepticement et se mettent à pomper 80% de la CPU, le temps
subit une compression anenthropique tandis que mon compte en banque
décrémente ses dizaines dans un redshift dopplerien...
Peu après.
Space-op en plein... tout ce que j’aime, tant pis pour le redshift bancaire !
Le
camarade Greg a subi des contraintes oulipiennes, on le sent. La saga
forerunners te transporte 100.000 ans avant que tu n'aies jamais eu la
manette de Combat Evolved
(Halo-1) dans les pognes.
C’est ample, c’est grand, les personnages
prennent du souffle, l’intrigue s’entortille dans la flèche du temps...
on comprend pourquoi les Forerunners ont créé ces armes “anneaux mondes”.
Et encore, des vaisseaux forteresses de cinquante bornes de longs, une
civilisation oecuménique ; la galaxie pratiquement sous contrôle... Mama
mia !
Impossible de ne pas penser à Larry Niven, et pour être encore plus modern style,
tu sais, ça m’évoque... Bling... cette espèce de drôlerie qu'on buvait dans une
petite tôle de Biên Hoa pas très loin de Saïgon... les volets rouges...
et la taulière, un blonde comme ac...
Heu... Sblong... Plop !
[fin de la fuite heuristiquo-quantique]
...
Ça m’évoque aussi du John C. Wright dans la trilogie de l’Âge d’or, ou mieux : du S.P. Somtow dans les Chroniques de l’inquisition (comment ? tu n’as pas lu les Chroniques de l’inquisition ? Mais dépêche-toi, malheureux ! C’est tout simplement giganteste !).
(Ça ira pour les références ?)
Sans dec, c’est du Mozart, una vera delizia, ce Greg Bear... un artiste.
Pourvu que je survive jusqu’au tome 3 !
Hè, tu rigoles, tu rigoles, farang inconscient,
mais imagine le colapsus fatal avant d’en avoir terminé avec la
saga forerunners, hum ? Ça, ce serait grave... Les cadettes nord-coréennes de l'espace ne me le pardonneraient pas !
Je demande au "fils de pute" qui m’a piqué le coffret Halo-2 Xbox de me le rendre !
Putain, c’était mon cadeau de noël 2004, merde !
Salaud ! Voleur...
Hi,
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Thank you!
Entête-toi, mordel de berde, et freine, freine, ma vieille pougne. Faudrait pas que t'oublies que j'ai rendez-toi avec vous dès le début juillet. Repose-toi avec La Semaine de Suzette ou Les Réflexions sur la peinture du moine Citrouille-amère.
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