Très, très embêté, ironique farang,
pour trouver la mesure de ce livre. Note que l’idée est bonne, le
fantomatique trio Miller-Durrel-Cendrars en visiteur du soir et les
dérapages temporels dans les bordels du Paris de la belle époque, merci,
c’était bien.
Mais que n’avez-vous exploité le filon, aimable Sébastien ;
177 pages ? Que 177 pages ? C’est effectivement très mince comme delirium ! Vous eussiez pu donner quelques tours de
plus à la manivelle de cette belle mécanique.
Bon, ok, c’était pas mal et j’avais besoin de changement, mais laissez-moi vous le dire une bonne fois pour toutes :
Vous, les écrivains, vous êtes de grands malades égocentriques !
Je vous demande de vous reMarthe-Richardiser...
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