Premier livre du cycle “Terre mourante” (The Dying Earth, 1950), cet opus assez singulier sera suivi par les deux Cugel et Rhialto le merveilleux.
Dans un futur fort, fort lointain, au moment où la lune a disparu (?) et où le soleil est presque mort, ne reste sur la Terre que les arts millénaires de la magie et de la sorcellerie en guise de technologie.
Le jeune magicien Turjan de Mir se doit de reconquérir maints savoir oubliés et, pour ce faire, voyagera jusqu’en Embellyon afin consulter le grand magicien Pandelume, dernier détenteur de tous les secrets de cet art presque perdu.
Décadence, sortilèges, démons, terres hantées, jeunes gens en quête d’avenir et déjà le souffle baroque de la griffe du maître.
Cela dit, le bouquin est assez déstabilisant en première lecture car saucissonné en plusieurs aventures assez disparates et laisse soupçonner une compilation de nouvelles.
Je te l’avoue, farang-rosicrucien, ce n’est pas mon livre favori et notons que par la suite le dabe à bien redressé la barre ; il faut cependant commencer par ce tome car il plante le décor de la saga de Cugel qui, elle, sera une véritable ode à ce personnage unique et malicieux…
Notons aussi la superbe couverture d’un Druillet au mieux de sa forme (sûrement en pleine période Lone Sloan)
Merci papa Jack, je vais maintenant reprendre une vie normale et me réserver la suite pour le mois prochain… et oui, je vis sous la botte d’une PAL en perpétuelle expention et qui est sans cesse à me rappeler à mes devoirs !
©PAL |
Je vous demande de ne pas faiblir...
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