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dimanche 23 novembre 2014

Le chant du converti, Sebastian Rotella

Ah… Le nouveau Rotella ! Je le dois à la diligente et sympathique attention de l’ami Patriçounet ; faut ausi dire que je l’avais bien appâté avec le premier, Triple Crossing...

Bon, la semi-barbouze Valentin Pescatore remet le couvert. Ça se passe quelques piges après Triple Crossing, mais ça commence avant, à Chicago, avec le camarade Raymond.
Mais, bien sûr, il est impossible que je t’en dise trop, cuate !
Sauf, peut-être, que tu vas gagner des centaines de miles sur une quelconque International-Air-Line... Buenos Aires, La Paz, Paris, Madrid, Bagdad, etc. Tu vas voir du pays ! Sache qu’en outre il te faudra quelques fois te laisser pousser la barbe et maman mettra un mouchoir sur la figure, car tu vas devoir composer avec le terrorisme international, les réseaux islamistes européens et les mafia boliviennes. Gros décalages existentiels à prévoir !

Une drôle d’ordonnance que nous délivre là le docteur Rotella : attentats sanglants, kamikazes, narco-trafiquants, assassins, policiers véreux, émeutes et une curieuse sensation de dépaysement quand la castagne internationale se téléporte dans le neuf trois et dans Paname.

Tu vas aussi fréquenter de très près de redoutables acronymes tels que : GEOF, FBI, DEA, CIA, DCRI, et les poétiques mais sanguinaires Al-Qods, Hezbollah, Al-Quaïda…
T’inquiète, tu vas avoir du sang sur les pognes, farang-égorgeur !
Heureusement, il est possible que tu rencontres une charmante Fatima Belhaj, dont les ancêtres étaient gaulois, et qui réveillera l’humanité qui repose en ton caleçon.

Mais, soyons, clair, ça va péter dans tous les coins et le camarade Sebastian Rotella m’appert comme extrêmement bien renseigné sur la deus ex machina qui actionne subrepticement tout ce merdier géopolitique et mortifère. Je subodore que la toile de fond de ce global-polar est très proche de la sanglante réalité des années deux mille dix.

C’était simplement magistral.

Bravo à l’ami Sebastian et encore merci au vieux Patriçounez...





Tic, tac, tic, tac, tic, tac...

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