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mercredi 30 janvier 2013

Les Jansénistes (t. 20), Nicolas Lyon-Caen

Bon, bon, je n’avais pas bien saisi la nature profondément rebelle des Jansénistes.

Avant de lire ce Rebelle, je croyais que “janséniste fastidieux” était une tautologie, après l’avoir lu, j’en suis totalement certaine. Toutes ces bondieuseries sont vraiment de l’attrape-couillon et de l’enculage de mouches ; il n’y a jamais eu que Bossuet et quelques autres illuminés pour penser que Pascal était un rebelle.

Donc les Jansénistes se sont fait baiser par les Jésuites. 
Hé, rien de nouveau sous le soleil, non ? Les jésuites ont toujours baisé tout le monde, alors qu’ils aient remarquablement manœuvré pour faire raser Port-Royal en 1713 n’aura étonné que les imbéciles, finalement !

De toutes les façons j’ai toujours bien aimé les Jésuites, ces stakhanovistes du catholicisme dialectique, de véritables marxistes-léninistes romains, catholiques et apostoliques ; de bons ennemis. De là à supposer que je n’aurais pas aimé les Jansénistes, y a pas lerche. Z’étaient frigides ces barjots (ha, ha, ha) ; de véritables connards qui, mine de rien, étaient en train de nous refaire le coup de la Réforme, putain ! Une fois ça ira, merde ! Son Éblouissance Louis Croix Bâton Vé a bien fait de me foutre tout ce bordel en l’air...

Oh, en parlant de Port-Royal, as-tu vu, farang-forniqueur, que c’était bourré de gonzesses, con ?  Les abbesses en mères maquerelles régnant sur une horde d’escort-girls... Mais elles suçaient mal, le claque n’a pas duré.

Gloire à Ignace de Loyola et que vive la praxis du matérialisme-casuistique.



Le gars Ignace

Novice-Farang, as-tu révisé tes Exercices spirituels ?

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