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dimanche 4 novembre 2012

Ange mémoire, Robert Charles Wilson

Et oui, farangus pougnatus, c’est dur de sortir du bouquin précédent, “Sur les épaules de Darwin”.

C’est dur et c’est décevant de redescendre dans l’arène du tout venant; faut que je sois indulgente.


J’ai donc choisi un bouquin de SF en me disant qu’au moins je garderais un peu de fantaisie, qu’il n’y aurait pas de rupture radicale. 

Je venais de tutoyer la musique des sphères, j’allais m'accorder un palier de décompression avant d’enchaîner sur du brutal ; les Rebelles, par exemple...


C’était un bon scénar, non ?

Ben, macash bono, je me suis fait chier d’alpha à zéta. Pourtant Bob-Charly fait partie de nos amis depuis un bail déjà. "Blind Lake" n'était pas si mal et "Spin" c’est révélé être une petite merveille...

Bob-Charly a fait ce qu’il pouvait le pauvre, une oeuvre de jeunesse (1987 aux US), postérieure mais largement très loin de l’éblouissement que nous procurât "Neuromencien" de W. Gibson au début des années 80.
Ok, c'est vaguement cyber-punk, mais c’est hélas très téléphoné, et cela s’adresse très certainement à un public plus jeune ou encore enthousiaste, disons.


Comment appelez-vous celà ? De la cyber-punk humaniste ? Mouais, bonjour l’oxymoron...


Je l’ai lu comme on prend un somnifère... dommage.



Je vous demande de vous ressaisir...

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