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vendredi 11 mai 2012

Le studio de l'inutilité, Simon Leys


Encore un ovni dans le landerneau des livres qui me passent dans les griffes. L’omnivore matutinal Philippe Meyer l’a vivement recommandé l’autre dimanche matin sur FC, après la messe, avec les tremolos idoines ; l’était ému le mammifère Meyer (que le ciel le tienne en joie).
Quand t'as fini ça, t'as l'impression de partager le même mouchoir qu'Orwell, que Chesterton est venu bouffer hier soir ou que tu viens de trouver les carnets de Barthes dans le tiroir à chaussettes.
Avant de lire « Le studio de l'inutilité », j'étais con, maintenant, après l'avoir lu ( et relu, ça peu se grappiller ad infinitum), chuis toujours aussi con, rassurez-vous, mais je vais être vachement plus impécunieux ; une grosse amazonade en cours et une liste longue comac pour mon bouquiniste humain favori.
Ouais, ce Simon Leys, là, c'est extra ! Ça vaut largement le « Programming Perl (3rd Edition) », quoi qu'en pensent les pêcheurs à la ligne...
Ouais, ce studio, là, il est tout sauf inutile.

Disponible sur mon bureau (gaffe, y a déjà une liste d'attente).

(Maoïstes convaincus et inconditionnels de Barthes s'abstenir, ça va vous faire du mal.)

Je vous demande de vous inutiliser...

1 commentaire:

  1. Hé, fils@papa, c'est quoi cette police merde! Faut un microscope pour lire ça!
    PS: tu sais ce qu'ils te disent les maoïstes?

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