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mardi 29 mai 2012

Le parrain de Katmandou, John Burdett


Pitoyable farang, je vois que tu insistes, tu as besoin de récurer tes chakras secondaires, bien. Je te conseille donc de t’asseoir (tes genoux cagneux ne vont pas tarder à trembloter, tu verras) car il faut que tu t’inities au bouddhisme apocalyptique. Prépare d'ores et déjà deux ou trois joints d'avance si tu veux survivre au quatrième opus des épreuves de Sonchaï Jitpleecheep. 

Meurtre rituel, femmes fatales, trafic de dope, mafia diamantophage, trip métaphysique, pharmacopée chinoise, guerre d'influences entre des flics ripoux et des militaires véreux,... et tout cela sur fond de bouddhisme tantrique (et apocalyptique, le népalais est fourbe... surtout la népalaise, d'ailleurs !).
Bien sûr, indigne farang, le supplice de la roue à lames te sera épargné, tu ne connaîtras jamais le mantra ad hoc ; ne soit pas déçu, c'est relativement douloureux et il faut plusieurs vies pour s'en débarrasser.

Putain de bordel de merde, nous avons lu tous les John Budett ! Comment allons-nous faire, maintenant ?


Je vous demande de vous Jitpleecheepiser...

2 commentaires:

  1. Nous avons la solution : lisez "Autant en emporte l'Orient" de John Burdett !

    Retrouvez un John Burdett (et son traducteur habituel, Thierry Piélat) en grande forme dans un thriller qui lorgne du côté du fantastique ! L'auteur nous prouve une nouvelle fois sa connaissance de Bangkok, avec une version moderne d'un mythe populaire thaï.

    Pour tout savoir, rendez-vous sur http://bangkoknoirgope.blogspot.fr/2012/06/autant-en-emporte-lorient-john-burdett.html

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  2. Clic Clac, c’est amazoné.
    Chère grenouille, sois bénie pour cette dernière bouffée de Burdett. Je suis certain que tu suis la voie de Bodhisattva...
    Ton pitoyable brin d’herbe reconnaissant.

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