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dimanche 26 octobre 2014

Le Bonheur, désespérément, André Comte-Sponville

«Qu’est-ce que je serais heureux si j’étais heureux !»
Woody Allen

Voila, tout est dit dans cette citation reprise en quatrième de couverture.

L’ami Dédé se méfie de l’espérance et, là où Spinoza voyait une puissance dans le désir, lui, n’y voit qu’une souffrance, la brûlure du manque qui ne peut dégénérer qu’en lassitude ou déception dès lors qu’il est comblé.
La sagesse sera donc dans cet entre-deux, entre désir et ennui, chercher à être heureux de ce que l’on possède déjà, de ce que l’on fait et de ce qui est ; parier que le bonheur est un acte désespéré à renouveler à chaque instant, un peu comme la perte d’équilibre permanente qui préside à la marche d’un bipède comme toi et moi.

Il faut donc trouver un équilibre entre la recherche forcenée d’un idéal, par définition inatteignable et générateur de frustrations, et la simple et honnête jouissance de ce que l’on fait et de ce que l’on vit maintenant ; le plaisir et la joie plutôt que le désir et l’ennui.


Merci à l’ami Cricri pour ces béatitudes selon Saint Comte-Sponville.






 Sinon, y a toujours la chimie lourde...

1 commentaire:

  1. Bonjour Sergio,
    Encore, ce n’est rien comparé à notre castelet charentais dont je te donnerai les coordonnées Lambert et téléphoniques sur un autre média.
    Oui on peut reconnaitre la main verte de Vieux Bill qui a fort bien réussi ses cucurbitacées cette saison. Comment ça elles pendouillent ?
    Nous n’avons que six gardiens de l’espèce féline, à sale caractère, qui nous crachent dessus à la moindre approche, mais que nous nourrissons malgré tout par je ne sais quelle bonté irraisonnable. Tu connais Vieux Bill et son amour inconditionnel des chats, deux mamans, un seul papa et 3 petits ; hé oui, le contrôle des naissances par Vieux Bill, c’est : §/ ?%¨+-« (-_@><µ%^## 100000000000000 ?
    Ici pas de clôture non plus, ni de discrimination sociale, vous serez toujours bienvenus.
    Oui, nous n’avons pas su bien apprécier le travail de Joël Shapiro, mais j’aime bien la sauterelle géante car elle casse la rondeur systématique des espaces.
    Je te réponds ici car j’ai beaucoup tardé et je ne sais pas, si le renvoi de commentaire ….est automatique pour toi de mon blog….Enfin tu’m comprends !
    Bises.

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