Bon, trêve de sottises, farang facétieux, revenons à nos vestiges.
Déjà je pensais affurer quelque chose de très nippon, rapport au blase du scribouilleur ; perdu, c’est trés, trés, mais alors très rosbeef, tu peux pas test ! (mozinor, merde !). Le butler dont il est question dans ce livre, Stevens, c’est pas le Jeeves de Wodehouse, rappelle-toi que tu ne vas pas te marrer ; c’est du pur britiche compassé et fin d’empire, l’esclavage ancillaire érigé en vertu, l’adoration canine de la plèbe albionnesque pour la détestable caste des Tories.
La vie sordide des larbins, leur pitoyable servitude, leurs rêves étriqués ; les Hilotes de Sparte étaient très certainement moins résignés.
Cela dit, c’est très bien écrit, so british, sûrement très bien traduit, c’est même beau et émouvant, mais c’est d’une tristesse...
Sophie Mayoux est notre amie.
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