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mardi 16 avril 2013

Les Dragons de Meereen (Le Trône de Fer, t. 14), George R. R. Martin

Veux-tu que je te dise, farang stellionataire et obsolète ? Cézig Georgio a passé la pression du  turbo à plus de 2 bars. 

Tu vois, j’avais un peu peur qu’il se soit ramolli le camarade G. R. R., Le bûcher du roi était très bien, mais ça sentait la reprise, le référentiel bondissant, comm’ qui dirait. 

Ben mon pote, il a sacrement rebondi, le référentiel... y a la gnaque du début quelques milliers de pages après z’icelui, tout un paquet d’histoires secondaires est réactivé ; une gargantuesque régalade de mues à chaque chapitre ; un coup dans la peau d’un Loup, un autre dans celle d’un Lion, d’un tourne-casaque, d’un Cerf, d’une Seiche, d’un Dragon, d’un Cahuzac, heu... 

Brèfe, y m’a repris au colbac, Georgio ; chuis p'us que sa chose, sa victime consentante.


Ceci étant, un vertige me prend, le doute commence à me tourmenter ; noires ailes, noires nouvelles...
J’entame le 15 (Une danse avec les dragons) et ne m’explique pas que c’est le dernier opus de la série, que l'ami George va réussir à faire retomber proprement tous ce qui tournicote encore dans la méta-sphère trônedeférugineuse ; comment ferait-il, d’ailleurs ? 
(je viens de vérifier la taille de la version papier, c’est un gros 400 pages, 1854 KB, quoi.)
J’y crois pas une seule seconde !
Non, ce n’est sûrement pas fini, va falloir entendre des semestres entiers, bientôt, pour avoir la suite... 

Ah putain de bordel de dieu ! Vous m’avez bien bourré le mou en me vendant le TdF comme un artefact holistiquement bouclé, quasi circulaire ; global, quoi. Salops ! 



Jon Snow



 

Je vous demande de me croire : putain, y caille dans ce bled...







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