Considérons que le tome 2 était une sorte de friandise dans ce cycle, certes fort goûteuse, et que maintenant nous avons fait le tour de la société «démarchiste» qui colonise une minuscule bulle de systèmes stellaires du bras d’Orion d’une quarantaine d’années lumière de rayon et qui est composée de gens encore un peu comme toi et moi.
Mais place désormais au point de vue «Conjoineur» dans ce troisième opus.
Une autre version de l’humanité ces Conjoineurs ; ils se sont tellement truffé la cervelle de nano-machines qu’ils ont pas mal modifié leur topologie neuro-efficiente ; ils ne gambergent plus comme nous. Ils vivent en mode ultra-connecté, télépathique, disons, dans des arcologies violemment exotiques, des sortes de nids technologiques sis au cœur de comètes furtives, dans une promiscuité et un entre-soi radicalement transhumaniste. Cela dit, question inventions et technologies de pointes, elle se pose là, la gaillarde nichée des Conjoineurs ; ne leur jetons pas la pierre, Simon, après tout, nous leur devons, entre autre, les fameux "propulseurs conjoineurs - au fonctionnement pour nous à jamais incompréhensible - qui équipent les Gobe-Lumens des joyeux drilles interstellaires Ultras, et pour la suite de l’intrigue, nous leur devons aussi les quarante pires armes jamais créées par les descendants du singe. Et tu peux bien t’imaginer, farang-apostasique, qu’ils ont un rôle à jouer dans tout ce gourbi galactique, dans cette lutte à mort entre «Nous» et les «Loups», les inhibiteurs.
La société ConjoineurW est singulière mais finalement assez classique ; elle a ses héros, ses fous et ses traîtres : Nevil Clavain, Galiana, Remontoir, Felka, etc. ; elle est adossée à sa nouvelle Histoire, et encore un peu à la nôtre, celle des amérikanos qui quittèrent la Terre pour coloniser les systèmes proches de notre soleil, des démarchistes qui leur succédèrent, et de cette incroyable secte de baroudeurs spatiaux et cyber-punk-gothiques que sont les Ultras.
Hélas, les inhibiteurs nous ont maintenant dans le collimateur et il faut absolument récupérer les armes de classe infernale qui se trouvent à bord du Gobe-Lumen “Spleen de l’Infini” que nous quittâmes, désemparé autour de Resurgam, à la fin du tome 1. La vrai bataille s’engage alors avec les Loups : attention les yeux, Big Dumb ObjectsW en approche. Les inhibiteurs vont carrément détruire plusieurs planètes de Delta Pavonis ainsi que l’étoile elle-même !
Et c'est la fuite de tout notre petit monde à bord du "Spleen de l'Infini" transformé pour l'occasion en arche de Noé sidérale avec une meute de machines biophages au derche ! Course lente et gourmande en déficit temporel, mais course sauvage et désespérée au bout de laquelle le "Spleen de l'Infini" se posera sur Ararat (sic), une planète océan de Pi Eridani.
Une autre version de l’humanité ces Conjoineurs ; ils se sont tellement truffé la cervelle de nano-machines qu’ils ont pas mal modifié leur topologie neuro-efficiente ; ils ne gambergent plus comme nous. Ils vivent en mode ultra-connecté, télépathique, disons, dans des arcologies violemment exotiques, des sortes de nids technologiques sis au cœur de comètes furtives, dans une promiscuité et un entre-soi radicalement transhumaniste. Cela dit, question inventions et technologies de pointes, elle se pose là, la gaillarde nichée des Conjoineurs ; ne leur jetons pas la pierre, Simon, après tout, nous leur devons, entre autre, les fameux "propulseurs conjoineurs - au fonctionnement pour nous à jamais incompréhensible - qui équipent les Gobe-Lumens des joyeux drilles interstellaires Ultras, et pour la suite de l’intrigue, nous leur devons aussi les quarante pires armes jamais créées par les descendants du singe. Et tu peux bien t’imaginer, farang-apostasique, qu’ils ont un rôle à jouer dans tout ce gourbi galactique, dans cette lutte à mort entre «Nous» et les «Loups», les inhibiteurs.
La société ConjoineurW est singulière mais finalement assez classique ; elle a ses héros, ses fous et ses traîtres : Nevil Clavain, Galiana, Remontoir, Felka, etc. ; elle est adossée à sa nouvelle Histoire, et encore un peu à la nôtre, celle des amérikanos qui quittèrent la Terre pour coloniser les systèmes proches de notre soleil, des démarchistes qui leur succédèrent, et de cette incroyable secte de baroudeurs spatiaux et cyber-punk-gothiques que sont les Ultras.
Hélas, les inhibiteurs nous ont maintenant dans le collimateur et il faut absolument récupérer les armes de classe infernale qui se trouvent à bord du Gobe-Lumen “Spleen de l’Infini” que nous quittâmes, désemparé autour de Resurgam, à la fin du tome 1. La vrai bataille s’engage alors avec les Loups : attention les yeux, Big Dumb ObjectsW en approche. Les inhibiteurs vont carrément détruire plusieurs planètes de Delta Pavonis ainsi que l’étoile elle-même !
Et c'est la fuite de tout notre petit monde à bord du "Spleen de l'Infini" transformé pour l'occasion en arche de Noé sidérale avec une meute de machines biophages au derche ! Course lente et gourmande en déficit temporel, mais course sauvage et désespérée au bout de laquelle le "Spleen de l'Infini" se posera sur Ararat (sic), une planète océan de Pi Eridani.
Ça va mal mon cadet !
L’humanité pourra-t-elle survivre aux Inhibiteurs, ces fléaux galactiques ?
Tu le sauras au prochain numéro.
Hans Holbein : L’arche de Noé |
Spleen de l’infini...
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