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dimanche 13 octobre 2013

Fakirs, Antonin Varenne

Mon chéri, voila un polard qu’il était ciselé ! Un grand monsieur cet Antonin, m’est avis qui va faire des étincelles çuilà aussi.


Flics déjantés zonnant au département “Suicide” du 36 Quai des Orphèvres, barbouzes américaines en villégiature forcée aux pays du Grand Charles, un ex-taulard gardien de parc du jardin du Luxembourg, communauté hippy dans le Lot, putasseries fines à l’ambassade Américaine ; tous les ingrédients pour faire un polard de plus…

Ben, c’est pas juste un polard de plus, farang-bulgare, entre les deux flicards, les deux amerloques et le taulard Bunker (et son chien Mesrine) va se jouer une partie de carambole serrée. Des personnages dotés d’une psychologie extrêmement fouillée, un background historique délivré au compte gouttes font de ce bouquin un objet qui devient de plus en plus difficile à lâcher au fur et à mesure qu’on s’enfonce dans la trame narrative.

Sache que ce n’est pas le polard de monsieur tout le monde ; c’est puissant, bien mené et ça finit hyper-mal pour plein de gusses, mais chut... faut pas que je le dis.



Y a pas, ce mec possède son art à fond. Y fait ce qu’il veut, y nous mène par le bout du nez, quoi.


Je sens bien qu'Antonin Varenne va devenir un bon ami...








Je vous demande d’aller vous faire hameçonner...

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