Yes !
La voila l’âme de la révolution... les racines du mal, le coup de pied au cul.
Rapelle-toi, farangous-tignous,
que les curetons, les nantis et les monarques n’ont pas eu beau spiele
sous la plume de François-Marie Arouet.
La rébellion par la
rhétorique.
Il a dû en faire chier du beau monde avec ces pièces, ses essais, ses pamphlets. Le caillou dans la godasse des infâmes.
Ceci
dit, il a souvent payé le prix de son esprit et de son ironie, il
avait sa cellote réservée à la Bastille cézig et quand il y échappait,
c’était l’exil.
Bon,
je vais la faire courte : il faut que tu lises cet épisode, au moins
pour retrouver brièvement Candide&Pangloss (non, ils ne vendent pas
de fringues et n’organisent aucun fashion show rue François 1er, connard
! ).
De fait, je viens de dépoussiérer ses “Lettres philosophiques” pour les insérer dans les Ave de mon chapelet de lecture... Je te conseille de faire de même.
Merci à Jean-Baptiste Borel pour ce seizième tome des Rebelles, c’est celui que je préfère, et c’est la faute à qui, hum ?...
Je vous rappelle que Voltaire n’est pas seul, il a un associé...
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