Tu vois, farangvik-menchevik,
je m’en était douté, ce premier tome sur Staline est une véritable
merveille. Ça se lit avec le même plaisir que Le Comte de Monte-Cristo de Dumas.
Plus de sept cents pages totalement captivantes qui fourmillent de détails sur la jeunesse du sanguinaire Pancho Villa Georgien :
Iossif Vissarionovitch Djougachvili, dit “Sosso”, ou encore “Koba”, et bien sûr, “Joseph Staline”.
Dans ce volume on couvre la période qui va de sa naissance (1879) à son accession au pouvoir (1917).Mais déjà, le parcours est à la mesure du futur, Il aura tout fait avant de devenir le monstrueux Tsar Rouge que tout le monde connaît.
Poète,
intellectuel (autodidacte, c’est un lecteur insatiable), séminariste,
agitateur, révolutionnaire, détrousseur, bandit de grand chemin, pirate
de haute mer, journaliste marxiste-léniniste, chef de gang, séducteur
impénitent, géniteur inconséquent, déporté, évadé... Ce mec est un
tourbillon sans aucune moralité. Mais quelle énergie !
La plume, la bite et le Mauser, au service du marxisme, de la vanité, de la violence et de la paranoïa.
Forcement, et on le sait, tout ça va très mal se terminer... pour des dizaines de millions d'autres.
Ok, je ne peux pas m’arrêter en 1920, il me faut la suite.
Souriez, vous allez être fusillés...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire