Nous sommes à présent totalement établis dans les années 80, trois ans après la fin du deuxième opus.
La tribu d’énergumènes disjonctés de Mme Madrigal commence à s’éparpiller, quelques personnages nouveaux et truculents apparaissent ; d’autres ont disparu pour ressurgir à brûle-pourpoint.
Bref, ça continue à ventiler, comme dans un Tom Sharp (en moins rosbif, quand même).
Le père Paddy Starr, en entremetteuse ne se déplaçant qu’en Cadillac El Dorado Biarritz rouge 1957 n’est pas la moindre de ses nouvelles gueules, mais il est surclassé par le couple improbable Prudy Sue (Prue) et Luke...
Et puis, qui est ce Luke, bordèle ? Ne serait-il pas un peu socialiste apostolique sur les bords ?
Jim Jones est-il vraiment mort au Guyana ? Hum ?
Sans dec’, un Wilt se sentirait presque à l’aise dans cette délicieuse péripétie qui nous entraîne des caves du 28 Barbary Lane, San Fransico, aux fins fonds glacés des îles Les Diomède, Détroit de Behring.
Hé, hé... à toi le soin, farang du Grand Nord.
Et qu'est-ce qu'on dit à notre irremplaçable dealeuse es-Maupin, la charmante Céline :
thank you <----- click.
Mes p'tits chéris, je vous demande de vous village-peopoliser...
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