Tome
quatre : toujours bon pied bon œil ; vent secteur Sud-Est dominant 2 à
4, fraîchissant secteur Est 3 à 5 vers la mi-journée ; transmetteur
d’ordres en position Avant toute.
La
geste du Trône de Fer de l’ami George R. R. Martin continue à se
déployer, à se complexifier à s'agréger par accumulation de corrugations
(une sorte de plongement isométrique d’un tore carré plat dans un
espace 3D, quoi ! ), c’est presque beau comme une fractale lisse, con.
Pouf, pouf...
Une
nouvelle plaie montre le bout de son museau : Mélissandre, la gonzesse
rouge. Sorte de sorcière zélote du Maître de la Lumière, R’hllor (va
prononcer un truc pareil, toi !) dans le rôle de la garce démoniaque.
Ouais, m’est avis qu’il va pas avoir beau spiele le Stannis avec une
donzelle pareille.
Le
petit branleur de Joffrey a décidément claqué un fusible depuis qu’il
est roi et notre bon Lutin a le plus grand mal à garder la situasse sous
contrôle à Port-Réal, heureusement qu’il s'est forgé un bon précepte : si vis
bellum, para bellum...
Jon
s’enfonce toujours plus avant au nord du Mur, et la brave petite Ayra
se retrouve souillon de cuisine dans la forteresse de Harrenhal, putain !
Et aussi :
Pyk,
archipel des îles de Fer, clan des Fer-nés : le camarade Theon Greyjoy
rentre à la maison après dix ans de villégiature forcée chez les Stark.
Pas très fut-fut le Theon, il est redirigé illico par son vieux vers les
basses besognes. Vexé et pour prouver sa vaillance, il se met dans
l’idée de conquérir Winterfell ; j’l’avais dit, il est très con car ceci accompli, les emmerdes commencent vraiment.
En
fait, on pourrait résumer cette saga du feu et de la glace à la
doctrine favorite du vieux Tywin Lannister : tête, pique, remparts !
Rappelle-toi que la vie d’un farangus pécum comme toi et moi ne vaut pas grand chose au regard de ces seigneuries...
Tête, Pique, Remparts ?
Je vous demande de me croire : on n'en restera pas là...
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