Bien,
à l’est, les affaires reprennent pour Daenerys : le Khal Drogo l’a
salement encloquée et elle espère bien donner naissance au prochain
Gengis khan tandis que son pénible de frérot va amèrement regretter
d’avoir à ceindre la couronne d’or que lui proposera son beau-frère
(faut toujours se méfier de son beauf, c’est con un beauf... d’jà ça
aime pas bien que tu reluques ta belle-soeur, un beauf, te dire si c’est
con !).
A
l’Ouest, les choses se précisent, la petite roulure de Joffrey usurpe
le trône et fait mettre la tête de Ned Stark sur une pique (Aïeux !) ;
du coup, la guerre est là, les Stark vont devoir faire rendre gorge aux
Lannister. Honneur versus félonie ? Peut-être pas si simple.
Encore
une fois et malgré un positionnement politique utra-Lannistérien,
le nain Tyrion reste un personnage extrêmement sympatique... Moultes
péripéties plus tard, il aura réussi à s'extirper des griffes des Stark,
aura levé son propre ost de canailles et de va-nu-pieds, participé à
une bataille sanglante, troussé nombre de jouvencelles et finira Main du
roi (sur ordre de son père Tywin Lannister). Cercei et sa petite
frappe de Joffrey ont intérêt à se tenir à carreau.
Au
fait, Arya a réussi à s’échapper de port-Réal et sous couvert
d’anonymat elle remonte vers le nord avec un convoi de prisonniers qui
va au Grand Mur. Attention cependant, la guerre fait rage et le pays est
peu sûr...
Bon, on a démarré ce deuxième tome avec la fille au sang de dragon (Daenerys), on finit avec elle. Un autodafé remarquable, ou on pense que tout est cuit, et... voila-t’y pas que les dragons arrivent ; qu’est-ce que j’t’avais dit, hum ?
Je vous demande de ne pas perdre la tête...
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