Ok, ok, mon honorable camarade maoïste Patri Zounaï est à la bourre sur son Xialong. Tu l’auras compris, farang égotiste,
il faut que je lui laisse un peu de marge, un peu de latitude ; c’est
vrai, quoi, un jeune retraité n’a plus une minute à lui... c’est bien
connu.
Bon,
toutes conneries cessantes, l’inspecteur principal Chen n’a pas beau
spiele dans cette affaire là. Très teutchi l’enquête ; tout ce qui
touche au camarade Mao est encore assez sensible. Le pauvre Chen est
méchamment jeté dans un wok “brûlant”, en conclura finement le Vieux Chasseur.
Il s’agit d’empêcher l’exfiltration de certains documents peut-être
dangereux pour le parti, offert par Mao à sa maîtresse Shang (la fameuse
danseuse de Mao) et dont la petite fille aurait hérité. Tout
remonte aux années 40. La dernière femme du Grand Timonier (Jiang Qing)
était une vraie salope et n’a jamais hésité, dès qu’elle en a eu le
loisir, à pratiquer ses propres purges dans l’entourage des concubines
délaissées par son impérial époux. La pauvre Shang a fait parti des victimes de la chienne de Mao. Sa fille Qian n’a pas eu plus de chance, quant à la petite fille, Jiao... Pourra-t-elle échapper longtemps à l’ombre du géant ?
Chen, Vieux Chasseur, Yu, Peiqin, et monsieur Gu pourront-ils éviter l’inéluctable ?
Bien, à table maintenant :
…
Tranches
de peau de canard croustillante enveloppées de crêpes fines comme du
papier, avec sauce spéciale et ciboule. [...] Et spécialité de langues
de canard sous des poivrons rouges comme des collines coiffées
d’érables.
…
Je vous demande de vous fleurdepruniétiser...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire