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lundi 1 octobre 2012

Victor Hugo, l'irréductible, Le Monde

Et de trois pour cette superbe série du Monde.

Bien sûr, on connaît tous notre Totor par coeur me rétorqueras-tu, farangus ignorantus : les misérables, océano nox, Notre-Dame de Paris, ceci-cela...

Grand poète, grand queutard devant l’éternel, enterrement de première classe, sans compter plus d’une quinzaine d’années passées en exil. Exil politique bien sûr, l’est pas parti pour planquer son pognon, lui (suivez mon regard), c’est juste qu’il n’était pas d’accord avec Napoléon III. Ah, ils avaient une autre gueule, les rebelles, non ?
Bon, il n’aimait pas bien Voltaire, contrairement à notre glorieux et irremplaçable Frédréric Lefebvre, mais personne n’est parfait... Tiens en parlant de gens "irremplaçables", quelqu’un aurait-il vu Nadine Morano, récemment ? ...
Bref !
Ouais, donc tu nous voyais incollable sur le vieux Victor, hein ? Ben non, tu te gourais, comm d’hab, il nous manquait les remarquables discours du bonhomme. Ces textes, bien souvent d’actualité (hélas), présentés en première partie de “ces rebelles 3” en font la cheville humaniste du 19e.
Si c'est pas du parcours politique exemplaire, çà ! Il se définit comme libéral, socialiste, démocrate et républicain, il ne cessera jamais de fustiger la peine de mort, le système carcéral, le bagne, l’esclavage... l’inhumanité, en somme.  

J’ai une furieuse envie de relire Les misérables... pas toi ?




Je m’inssurje, Viktor Ugo été 2 droite ; l’a jamé pri ça carte au PC que je save...


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