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jeudi 16 octobre 2014

Napoléon et les femmes, Guy Breton

Tome VII de la série 
"Les histoires de fesses de l’histoire de la France".

Ah, l'ineffable Guy Breton, l’historien du trou de serrure.

Encore une fois le Padre Hugo m’a mis à l’épreuve. J’ai dû beaucoup pécher car à la suite de ma dernière confession auriculaire, il m’a cruellement infligé un acte de contrition et deux pénitences : Napoléon et les femmes et Napoléon et Marie-Louise.
- Va mon fils, finit-il par conclure tout en remballant son service trois pièces sous sa bure, et n’oublie jamais qui est le dabe, ici !
Et je ne sais toujours pas s’il parle de lui ou de l’Autre...

Napoléon vu du côté braguette, donc.

Ben, mon salaud, le nain priapique Napoléon a eu plus de maîtresses que Louis XV, François 1er et Henri IV réunis, dis-donc ! Et nous ne parlons là que des maîtresses consentantes, quoi qu’il y ait quelques cas où le consentement leur soit venu après ; après le viol… Car oui, qu’il soit Premier Consul ou empereur, le nabot mafieux viole, et il viole abondamment, sur un coin de canapé, au détour d’un couloir, sur un tapis ; je ne te raconte pas la vie du petit personnel féminin qui croisait ses trajectoires impériales.
Il a sévi de la quéquette dans toutes les cours européennes, dans toutes les grandes maisons de toutes les capitales, il a tout troussé, des princesses, des boniches, des filles de familles, des filles sans famille, avec ou sans mari… Toutes, toutes ! Partout, il avait toujours l’outil à la main.
Ah, l’enfoiré ! On se demande quand il a pu trouver le temps de mettre des branlées à toutes les armées d’europe et nous pondre le code Napoléon.

Rien, cependant qui ne m’ait rendu ce salaud de Don Napoléone plus sympathique… Je persiste à ne pas aimer les chefs de gangs mafieux, même quand ils sont corses et libidineux.

Padre Hugo, je vous remercie nonobstant de m’infliger ce cilice redoutable… plus qu’un !

© Tintin chez les corses


… Je… Je… Oh mon Dieu, il va la... la…

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