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dimanche 16 février 2014

Peur noire, Harlan Coben

Des années que je n’avais pas remis un oeil dans un Harlan Coben.

T’inquiète, faranga-Célina, j’ai eu ma période, il y a dix piges je sautais sur tous les bouquins de l’ami Harlan, sur tous les Michael Connelly aussi.

Je le piste depuis les années 90 à l’aimable héros des temps moderne Myron Bolitar, l’ex-basketteur au genou pété. Rappelle-toi qu’il en a démêlé des embrouilles vicieuses, des intrigues sanglantes et des tours de putes qui se tissent dans le milieu du basket américain de haut niveau.
Ce Peur noire s’inscrit sous le signe de la thérapie génique. Une course contre le temps ; oui, il faut sauver un petit nenfant qui a besoin d’un don de moelle osseuse et figure-toi que le seul candidat possible est un putain de tueur en série…

Il n’a pas fini de cavaler le Myron, jusqu’à la dernière page !

Du Harlan Coben, quoi, c’était parfait, comm’ d’hab’.


Merci à l’estimable Caelina (V2.0), égérie Oscardienne de nos piles TCP-IP.




DessiNAteur!





Luke, ich bin dein Vater...

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